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LE JARDINIER DU JARDIN DES PLANTES
Nous avons parlé du jardin, des oiseaux présents, du rouge-gorge familier, du chant des corbeaux, des poissons du Clain…
Nous avons évoqué le plaisir d’être là, cette nature en pleine ville qui nous apaise et nous ressource…
Tout simplement!
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L’homme devient libre lorsqu’il commute une conduite subie à une condition active.
La liberté consiste à s’autoriser à se réaliser, à vouloir accomplir ses désirs, ses ambitions, ses rêves.
L’homme libre est responsable de sa vie. Il décide ce qui lui parait être bon et utile pour lui et pour les autres.
L’homme libre a la pleine conscience d’agir et de penser.
La liberté est commune à tous, comment pouvons nous être libre collectivement, conjointement ?
La liberté c’est prendre un peu de distance avec les contraintes du quotidien et des pensées dominantes.
Dans la société, la loi et la justice prévalent, l’homme libre passe un contrat avec les citoyens, il se défait d’une part de sa liberté illimitée et violente au profit de la liberté civile restreinte mais pacifiée.
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Pour admirer le monde merveilleux qui partage avec nous notre belle planète !
Ou bien vaquer à nos activités favorites avec minutie et passion !
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J’ai emprunté le chemin qui longe la rivière.
Comme toujours, le sentier est investi par des promeneurs et des sportifs faisant du jogging.
Mais aujourd’hui 8 mars, le Clain est sorti de son lit.
Inondant les berges privant ainsi les animaux de leurs caches, de leurs terriers en bordure d’eau.
C’est le cas du Ragondin cet animal très craintif qui faute de refuges ose s’aventurer en plein jour hors de ses limites.
Le ragondin est classé nuisible depuis plusieurs années et ceci pour plusieurs raisons ; il n’a pas de prédateur et sans l’intervention de l’humain il pourrait fortement se reproduire. Il s’attaque aux jeunes arbres et véhicule certaines maladies.
Les oies, les canards et les poules d’eau pourtant très farouches déambulent pour la plus grande joie des enfants.
Les cormorans qu’il faudra bien intégrer à notre paysage du Poitou, s’adonnent à la pêche et aux jeux malgré le fort courant du cours d’eau.
J’ai emprunté le chemin qui longe la rivière...
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Le vent se lève sur Poitiers, faisant filer quelques risées oscillantes sur la surface argentée de la rivière.
Le souffle du vent balance sans rémission les bambous qui ploient sous la rafale de la bourrasque.
Le vent refoule vers la ville les stratocumulus chargés d’humidité.
Il suffit d’observer le ciel pour envisager qu’il va pleuvoir. Les gens s’arment de leur parapluie pour déambuler sans désagrément dans les rues de Poitiers.
Voici l’averse de Mars ! L’eau rigole dans les gouttières, tapote sur les toits avec un certain talent d'orchestre symphonique désaccordé et arythmique.
Les gouttelettes de pluie forment de multiples encyclies aléatoires sur la surface de l’eau.
Les gens précautionneux, la tête dans les épaules dirigent leur regard vers la chaussée et les trottoirs reluisants d’humidité qui s’apparentent à une multitude de miroirs aplanis et glissants.
La végétation s’auréole d’infinies petites perles d’argent.
Notre magasin emblématique à Poitiers.
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